Gertrude Van der Meulen-Michalewicz
aan
Matthijs en Thea Vermeulen
Wenen, 22 augustus 1948
Vienne, 22.8.48.
Chère Thea,
cher Thijs,
Mes premier mots a vous sont: pardonnez moi – si c'est possible. J'était comme une petit fille qui n'avais pas de raison et une ted tres dur.
Je vous ecrivez en français car cette langue vous aimez beaucoup plus que l'allemand. Seulement c'est ne pas facile pour moi.
Par Donald j'ai appris votre grand bhoneure et je suis heureuse avec vous. Comment allez vous chere Thea? Vous voulez une fille ou un ganrçon? Et le papa comment vas t-il?
Je vous envoyez une photo de notre petite angel. Elle a après demain un ans. J'espere elle va bientot revoir son papa. Tous les jour j'ai une lettre de mon Doudi et dans toutes son esprit et son stil sont comme avant de sa maladie. Il est guéri en peu de temps. Je ne comprend pas la diagnose de le medecin à la Salpetriere.
Moi-même je suis fatigue; je travailles tout la semaine de 8½ heure du matin jusqu a 7 heure du soir. Je ne voir pas beaucoup ma petite Clarisse.
Mes chers, je vous dis aurevoir et je vous embrassez avec ma petit Clarisse
Trudi
Verblijfplaats: Amsterdam, Bijzondere Collecties UvA